Œuvres

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Ombres

La terre coule à travers mon corps.
La lumière fait naître notre rencontre, réinvente sans cesse les paysages. Des rochers lourds, légers, parfois transparents, aériens ou lunaires apparaissent. Je caresse la surface de la terre et de la toile et vois des ombres données par un soleil lointain.

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Ancrage, huile sur toile, 50 x70 cm

Ancrage et
entrelacement

L’arbre est à la fois paysage, histoire, continuité entre passé et présent, être vivant par excellence.

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Surfaces terrestres

De près, de loin.
Je suis un être minuscule qui se promène à la surface de la terre.
Dans les fissures du sol s’ouvrent des passages, dans le pli du rocher se découvrent des paysages.

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Pli de roche, Huile sur toile - 50x80 cm
Corps silencieux, Huile sur toile, 60 x 60 cm

Corps silencieux

La vie humaine est une interrogation continuelle du monde alentour, ce monde qui nous répond et en même temps nous échappe. Dans les toiles de Nadja Cohen, la juxtaposition des corps humains et des rochers semble indiquer une origine…

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Instants dansés

Bouge, petit homme.

Bouge, parce que tu es mouvement.
Bouge, sois papillon, flammèche, gestation auguste des Andes, poème recommencé du vent, chiffon tout secoué d’extase, émotion des premiers sentiments. Bouge, sois l’inquiétude de la ville, le faseyement des média, la colère énorme, l’orage, le scintillement des étangs. Bouge pour honorer la lumière, danse pour booster la création. Bouge parce que c’est ton instinct, ta part, ta mission pour un temps.

Le trait s’élance et tente l’impossible : accompagner le mouvement, bouger en phase, traduire l’instant dans l’instant…

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Danses 
Encre sur papier
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Instants dansés
Fusain sur papier

Arboretum

La tête dans l’arbre…

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Présence d’une absence

Dans les vêtements froissés se dessine la mémoire du corps, la trace d’un mouvement.

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Le pantalon vert 50 x 65 cm
Homme au parapluie, 40x50 cm

Métro

Sérigraphie et peinture sur verre – 2009 / 2011

Saisir des visages et des corps dans la foule urbaine du métro parisien. Saisir un trait en un instant, mes “modèles” quittant leur place à tout moment. Saisir l’immobilité dans le mouvement incessant de la foule.
Chaque image prend vie, trouve son caractère, sa différence…. comme les personnes que nous croisons tous les jours dans les transports particulières et anonymes, entre foule et solitude.
Qu’est-ce qui se cache derrière chacun ? Quelle histoire ? Quelles peines ? Quelles joies ?
Quelles espérances?

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